Dans l'enfer de la campagne de Russie 1812
Chardonnens Alain
Première édition: 2006
Editeur: Editions à la Carte
Nombre de pages: 118
ISBN: 978-2-88464-731-1
Le cauchemar des Fribourgeois de Napoléon en Russie (1812)
Alain Chardonnens a retrouvé le deuxième cahier des Mémoires de Georges Demierre, capitaine d’Estavayer. Dans ce deuxième volume, Demierre nous emmène en Russie : Napoléon a envahi l’Empire des Tzars. Les Russes pratiquent la politique de la terre brûlée : les villages et les récoltes sont systématiquement incendiés. Les vivres commencent à manquer. Avec l’arrivée du froid glacial, le calvaire de la Grande Armée de Napoléon ne fait qu’empirer. Les Fribourgeois, forcés de servir l’Empereur, vont vivre un terrible cauchemar, dont Demierre nous fait le récit.
L’ÉVOCATION DE LA DÉBÂCLE EN RUSSIE
Douze mille Suisses ont pris part à la campagne de Russie. Bien peu d’entre eux reviendront vivants, trois cents peut-être.
Demierre est l’un des rares survivants de cette hécatombe. Le Fribourgeois raconte les malheurs de son régiment, son combat contre les Cosaques et les batailles qu’il livre à Polotsk. Napoléon s’est laissé piéger en Russie. A la fin de l’année 1812, Demierre se rend compte de l’étendue du désastre : « Il passe sans cesse des débris de la brave armée, moitié gelés et mutilés par le feu de l’ennemi ; débris de plus de 300'000 hommes ». C’est le chaos généralisé. Chacun ne pense qu’à sauver sa vie. A Paris, le trône de l’Empereur commence à vaciller. Demierre, lui, reçoit une balle lors de la débâcle : cette blessure l’empêche de participer au désastre de la Bérézina. Contrairement à ses camarades, il reste en vie.
LES AMIS DU RÉGIMENT
Dans ses mémoires, Demierre évoque les faits d’armes de ses camarades vaudois et fribourgeois. Il parle abondamment de son ami Nicolas Bullet (Estavayer) qui se fait rouer de coups par les paysans allemands, des lieutenants Michel Brasey (Font) et Laurent Gerbex (Estavayer), d’Emilie Bosset et du lieutenant Renaud (Avenches), Jean de Schaller, le futur Conseiller d’Etat (Fribourg), le commandant Joseph de Maillardoz (Fribourg)…
LA RENCONTRE AVEC NAPOLÉON
Alors que le premier volume des mémoires fait état de ses rencontres avec Louis XVI et le duc de Wellington, le deuxième raconte dans quelles circonstances il croise le chemin de Napoléon dans une auberge glauque…
Alain Chardonnens est professeur d’histoire à l’Ecole de culture générale (ECG) de Fribourg. Il occupe également une charge de maître de didactique et d’enseignant-formateur auprès de l’Université de Fribourg.
Cet ouvrage est épuisé. Cependant, le livre est disponible (en prêt) auprès de la BCU du canton de Fribourg.
Pour contacter l’auteur :
Alain Chardonnens,
alain.chardonnens@gmail.com
Alain Chardonnens a retrouvé le deuxième cahier des Mémoires de Georges Demierre, capitaine d’Estavayer. Dans ce deuxième volume, Demierre nous emmène en Russie : Napoléon a envahi l’Empire des Tzars. Les Russes pratiquent la politique de la terre brûlée : les villages et les récoltes sont systématiquement incendiés. Les vivres commencent à manquer. Avec l’arrivée du froid glacial, le calvaire de la Grande Armée de Napoléon ne fait qu’empirer. Les Fribourgeois, forcés de servir l’Empereur, vont vivre un terrible cauchemar, dont Demierre nous fait le récit.
L’ÉVOCATION DE LA DÉBÂCLE EN RUSSIE
Douze mille Suisses ont pris part à la campagne de Russie. Bien peu d’entre eux reviendront vivants, trois cents peut-être.
Demierre est l’un des rares survivants de cette hécatombe. Le Fribourgeois raconte les malheurs de son régiment, son combat contre les Cosaques et les batailles qu’il livre à Polotsk. Napoléon s’est laissé piéger en Russie. A la fin de l’année 1812, Demierre se rend compte de l’étendue du désastre : « Il passe sans cesse des débris de la brave armée, moitié gelés et mutilés par le feu de l’ennemi ; débris de plus de 300'000 hommes ». C’est le chaos généralisé. Chacun ne pense qu’à sauver sa vie. A Paris, le trône de l’Empereur commence à vaciller. Demierre, lui, reçoit une balle lors de la débâcle : cette blessure l’empêche de participer au désastre de la Bérézina. Contrairement à ses camarades, il reste en vie.
LES AMIS DU RÉGIMENT
Dans ses mémoires, Demierre évoque les faits d’armes de ses camarades vaudois et fribourgeois. Il parle abondamment de son ami Nicolas Bullet (Estavayer) qui se fait rouer de coups par les paysans allemands, des lieutenants Michel Brasey (Font) et Laurent Gerbex (Estavayer), d’Emilie Bosset et du lieutenant Renaud (Avenches), Jean de Schaller, le futur Conseiller d’Etat (Fribourg), le commandant Joseph de Maillardoz (Fribourg)…
LA RENCONTRE AVEC NAPOLÉON
Alors que le premier volume des mémoires fait état de ses rencontres avec Louis XVI et le duc de Wellington, le deuxième raconte dans quelles circonstances il croise le chemin de Napoléon dans une auberge glauque…
Alain Chardonnens est professeur d’histoire à l’Ecole de culture générale (ECG) de Fribourg. Il occupe également une charge de maître de didactique et d’enseignant-formateur auprès de l’Université de Fribourg.
Cet ouvrage est épuisé. Cependant, le livre est disponible (en prêt) auprès de la BCU du canton de Fribourg.
Pour contacter l’auteur :
Alain Chardonnens,
alain.chardonnens@gmail.com