L'épopée des Brigands du Jorat
Francis George-Perrin
Première édition: 2010
Editeur: Editions à la Carte
Nombre de pages: 102
ISBN: 978-2-940436-75-0
L’auteur et journaliste Francis George-Perrin n’a pas hésité à dégainer son épée de scribe pour faire toute la lumière sur les sombres activités des Brigands du Jorat qui sévirent jusqu’au 18 e siècle.
En ces temps passés, l’action était directe, violente et sans pitié. Seule comptait la bourse.
Aujourd’hui encore, le banditisme se terre derrière des cravates peu reluisantes . Le criminel court toujours... son habit et ses armes diffèrent.
Pourquoi faire resurgir le spectre de ces brigands qui inondèrent les bois du Jorat du sang des innocents ? L’auteur s’en explique :
« Pour en revenir à ces fameux Brigands, je ne me suis jamais séparé des récits que l'on m'en avait faits à mots couverts. Et, à chaque fois que je me promenais dans les forêts des environs de Mézières, leur existence mythique me revenait à l'esprit. »
Méfie-toi promeneur du dimanche, les Brigands du Jorat sont de retour, avec plus de délicatesse certes, moins de barbarie et un tableau de chasse représentatif d’une certaine élite. De cadavre, ils ne laissent derrière eux que celui du flacon que leur victime a dû partager en toute confraternité ! Comme le temps passe !...
Je vous laisse à vos Brigands.
L’éditeur
En ces temps passés, l’action était directe, violente et sans pitié. Seule comptait la bourse.
Aujourd’hui encore, le banditisme se terre derrière des cravates peu reluisantes . Le criminel court toujours... son habit et ses armes diffèrent.
Pourquoi faire resurgir le spectre de ces brigands qui inondèrent les bois du Jorat du sang des innocents ? L’auteur s’en explique :
« Pour en revenir à ces fameux Brigands, je ne me suis jamais séparé des récits que l'on m'en avait faits à mots couverts. Et, à chaque fois que je me promenais dans les forêts des environs de Mézières, leur existence mythique me revenait à l'esprit. »
Méfie-toi promeneur du dimanche, les Brigands du Jorat sont de retour, avec plus de délicatesse certes, moins de barbarie et un tableau de chasse représentatif d’une certaine élite. De cadavre, ils ne laissent derrière eux que celui du flacon que leur victime a dû partager en toute confraternité ! Comme le temps passe !...
Je vous laisse à vos Brigands.
L’éditeur