Nemrod & Cie
Albert Muret
Première édition: 1949
Réedition: 2012
Editeur: Editions à la Carte
Nombre de pages: 187
ISBN: 978-2-888924-041-8
Le peintre et écrivain Albert Muret (1874-1955), représenté ici en compagnie de son chien, à Lens au bord du lac du Louché, a vécu dans ce village valaisan de 1902 à 1919.
De nombreux amis, parmi lesquels l’écrivain Ramuz, le peintre Auberjonois et le musicien Stravinsky lui ont souvent rendu visite et ont eu le plaisir de goûter au produit de sa chasse qu’il préparait avec fantaisie et brio.
Très sensible à la beauté de la nature, respectueux de la faune, Muret est imprégné par l’éthique et la déontologie, dignes d’un vrai chasseur ; il nous charme aussi par les touches d’humour et de poésie dont il parsème ses récits.
« Les lecteurs des souvenirs de chasse de Muret se plairont à reconnaître les lieux qu’il décrit, les forêts autour de Lens, le vallon de l’Ertenze, la plaine du Chablais, les bois au-dessus de Lavaux. Mais ils constateront aussi sa belle indifférence aux divisions politiques : le chasseur commente moins le Valais ou Vaud, qu’il ne décrit les territoires spécifiques de tel gibier, ici celui de la bécasse, là celui du tétras-lyre.»
Noël Cordonier, prof. Université Lausanne
De nombreux amis, parmi lesquels l’écrivain Ramuz, le peintre Auberjonois et le musicien Stravinsky lui ont souvent rendu visite et ont eu le plaisir de goûter au produit de sa chasse qu’il préparait avec fantaisie et brio.
Très sensible à la beauté de la nature, respectueux de la faune, Muret est imprégné par l’éthique et la déontologie, dignes d’un vrai chasseur ; il nous charme aussi par les touches d’humour et de poésie dont il parsème ses récits.
« Les lecteurs des souvenirs de chasse de Muret se plairont à reconnaître les lieux qu’il décrit, les forêts autour de Lens, le vallon de l’Ertenze, la plaine du Chablais, les bois au-dessus de Lavaux. Mais ils constateront aussi sa belle indifférence aux divisions politiques : le chasseur commente moins le Valais ou Vaud, qu’il ne décrit les territoires spécifiques de tel gibier, ici celui de la bécasse, là celui du tétras-lyre.»
Noël Cordonier, prof. Université Lausanne