Sourire au-delà de l'enfer
Yana Valença Vicente Garcia
Première édition: 2022
Editeur: Editions à la Carte
Nombre de pages: 74
ISBN: 978-2-88924-392-1
Yana Valença Vicente Garcia naît au Brésil en 1969, d’une mère adolescente et d’un père inconnu, dans un contexte de grande pauvreté. Dès la petite enfance, elle connaît la maltraitance, la rue, puis l’esclavage.
A l’aube de sa vingtième année, la promesse d’un mariage la conduit en Suisse... où le cauchemar va se poursuivre. Elle n’est allée que 2 ans à l’école; cependant, sa vive intelligence et sa curiosité l’ont poussée à apprendre à lire et à écrire, en autodidacte. Mais ce n’est qu’après s’être libérée de l’emprise de son mari, qu’elle commence à écrire des poèmes. L’écriture devient rapidement un exutoire, un apaisement, puis une nécessité de transmettre.
Yana Valença Vicente Garcia a également fondé et préside une association de soutien aux victimes de violences domestiques, L’Espoir de Yana.
Cette autobiographie est un coup de poing en pleine poitrine qui peut jeter à terre ou faire bondir, mais qui ne laisse pas indifférent. Elle se veut un message d’espoir, pour tous ceux à qui tout semble perdu d’avance.
Dès la petite enfance, la vie de l’auteure est marquée au fer rouge, comme si l’esclavage déjà vécu par son grand-père devait perdurer dans son histoire. Chaque fois que la roue de la fortune semble tourner en sa faveur, le numéro qui en sort est perdant. Elle n’a pas vingt ans, lorsqu’elle arrive en Suisse. Un homme beaucoup plus âgé qu’elle, rencontré dans son pays, a tout organisé pour sa venue et elle croit enfin pouvoir connaître une vie de bonheur. Mais l’Eden auquel elle a cru va très vite s’avérer être un enfer. Elle saura traverser le feu et renaître à chaque fois, tel un Phoenix. Mais elle vous dirait qu’elle est plutôt un colibri, ce tout petit oiseau, capable de voler de très grandes distances et même à reculons, ce symbole de la joie et de la légèreté d’être.
« Mon récit de vie « Sourire au-delà de l’enfer » est un message d’espoir pour les victimes de violence domestique pour qui dans cet enfer tout semble perdu.
En publiant ce témoignage, je souhaite leur prêter secours en les encourageant à sortir du silence et à demander de l’aide. Les bourreaux peuvent aller jusqu’à tuer leurs victimes ou les faire souffrir au point de les pousser au suicide.
Par mon témoignage, j’aimerais redonner confiance aux victimes, les encourager à trouver confiance en eux et à sortir de la culpabilité pour avancer, car tout espoir n’est pas perdu ! »
Yana Valença Vicente Garcia
A l’aube de sa vingtième année, la promesse d’un mariage la conduit en Suisse... où le cauchemar va se poursuivre. Elle n’est allée que 2 ans à l’école; cependant, sa vive intelligence et sa curiosité l’ont poussée à apprendre à lire et à écrire, en autodidacte. Mais ce n’est qu’après s’être libérée de l’emprise de son mari, qu’elle commence à écrire des poèmes. L’écriture devient rapidement un exutoire, un apaisement, puis une nécessité de transmettre.
Yana Valença Vicente Garcia a également fondé et préside une association de soutien aux victimes de violences domestiques, L’Espoir de Yana.
Cette autobiographie est un coup de poing en pleine poitrine qui peut jeter à terre ou faire bondir, mais qui ne laisse pas indifférent. Elle se veut un message d’espoir, pour tous ceux à qui tout semble perdu d’avance.
Dès la petite enfance, la vie de l’auteure est marquée au fer rouge, comme si l’esclavage déjà vécu par son grand-père devait perdurer dans son histoire. Chaque fois que la roue de la fortune semble tourner en sa faveur, le numéro qui en sort est perdant. Elle n’a pas vingt ans, lorsqu’elle arrive en Suisse. Un homme beaucoup plus âgé qu’elle, rencontré dans son pays, a tout organisé pour sa venue et elle croit enfin pouvoir connaître une vie de bonheur. Mais l’Eden auquel elle a cru va très vite s’avérer être un enfer. Elle saura traverser le feu et renaître à chaque fois, tel un Phoenix. Mais elle vous dirait qu’elle est plutôt un colibri, ce tout petit oiseau, capable de voler de très grandes distances et même à reculons, ce symbole de la joie et de la légèreté d’être.
« Mon récit de vie « Sourire au-delà de l’enfer » est un message d’espoir pour les victimes de violence domestique pour qui dans cet enfer tout semble perdu.
En publiant ce témoignage, je souhaite leur prêter secours en les encourageant à sortir du silence et à demander de l’aide. Les bourreaux peuvent aller jusqu’à tuer leurs victimes ou les faire souffrir au point de les pousser au suicide.
Par mon témoignage, j’aimerais redonner confiance aux victimes, les encourager à trouver confiance en eux et à sortir de la culpabilité pour avancer, car tout espoir n’est pas perdu ! »
Yana Valença Vicente Garcia
