Syllabes au vent
Pfefferlé Andrée (1933-2016)
Première édition: 2011
Editeur: Editions à la Carte
Nombre de pages: 78
ISBN: 978-2-940457-19-9
Hommage !
Avant toute chose, je veux rendre hommage à Madame Andrée Pfefferlé.
Après avoir reçu le Prix des Ecrivains valaisans en 2001, elle se voit décerner le Prix de la Loterie romande pour son recueil « Les Paysages de l’âme » paru en 2010.
Syllabes au vent - janvier 2011
Loin de folles courses aux gloires éphémères, l’auteure apprécie à leur juste valeur ces témoignages de reconnaissance. Elle sait que l’horloge de la vie tourne irrémédiablement. Aussi, sa mesure du temps se compte aux vibrations poétiques ressenties qu’elle retranscrit harmonieusement. Illusoires toutes choses qui semblent se retirer pensives et graves en un rêve chimérique de quelque ailleurs immuable qu’en son abîme le temps mortel effacera.
Pour son quatorzième recueil de poèmes, Andrée Pfefferlé soigne la manière. Le rythme qui influence sa vie de musicienne est bien là, sobre et sans compromis. Le mariage du mot et de la pensée compose cette symphonie du verbe qui interpelle, séduit, incite à la relecture et se conclut dans l’émotion. Tel un peintre, elle donne quelques touches portant sur la relativité du temps, la valeur des éléments et des êtres. Son vécu lui permet des appréciations discrètes, mais sans jugement. Faisant fi des chimères, Madame Pfefferlé mise sur les valeurs sûres avec lesquelles elle a construit sa vie. Pourquoi se charmer d’une joie éphémère sans profit pour le monde qui ne sait la recevoir ? Aujourd’hui, elle mène à bien son œuvre littéraire. Ses prochains recueils attendent l’heure de l’éclosion… Qu’importe le temps si l’œuvre perdure !
Joseph Lamon, éditeur
Avant toute chose, je veux rendre hommage à Madame Andrée Pfefferlé.
Après avoir reçu le Prix des Ecrivains valaisans en 2001, elle se voit décerner le Prix de la Loterie romande pour son recueil « Les Paysages de l’âme » paru en 2010.
Syllabes au vent - janvier 2011
Loin de folles courses aux gloires éphémères, l’auteure apprécie à leur juste valeur ces témoignages de reconnaissance. Elle sait que l’horloge de la vie tourne irrémédiablement. Aussi, sa mesure du temps se compte aux vibrations poétiques ressenties qu’elle retranscrit harmonieusement. Illusoires toutes choses qui semblent se retirer pensives et graves en un rêve chimérique de quelque ailleurs immuable qu’en son abîme le temps mortel effacera.
Pour son quatorzième recueil de poèmes, Andrée Pfefferlé soigne la manière. Le rythme qui influence sa vie de musicienne est bien là, sobre et sans compromis. Le mariage du mot et de la pensée compose cette symphonie du verbe qui interpelle, séduit, incite à la relecture et se conclut dans l’émotion. Tel un peintre, elle donne quelques touches portant sur la relativité du temps, la valeur des éléments et des êtres. Son vécu lui permet des appréciations discrètes, mais sans jugement. Faisant fi des chimères, Madame Pfefferlé mise sur les valeurs sûres avec lesquelles elle a construit sa vie. Pourquoi se charmer d’une joie éphémère sans profit pour le monde qui ne sait la recevoir ? Aujourd’hui, elle mène à bien son œuvre littéraire. Ses prochains recueils attendent l’heure de l’éclosion… Qu’importe le temps si l’œuvre perdure !
Joseph Lamon, éditeur